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Bonjour à tous, en ce qui concerne la prise en charge psy d’enfants demandée par l’un des parents séparé de l’autre, est ce que vous demandez systématiquement l’accord de l’autre parent ? merci de vos retours d'expérience
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Réponse de NICO24641532, le 04/09/2019 à 16:26
Oui c est obligatoire si les 2 parents ont l autorité parentale!NH
Envoyer un merci ?Réponse de MURI46564514, le 04/09/2019 à 16:43
Comme vous le savez , la prise en charge d'un enfant est facilitée quand l'enfant ne perçoit pas de conflit, voire d'opposition de l'un de ses parents au sujet de son traitement .Il est donc important de rencontrer les deux parents.Dans le cas d'un parent particulièrement absent ,il est possible de revoir l'enfant , tant que le parent, absent ne s'y oppose pas.Dans le cas inverse c'est assez compliqué car il faut argumenter sur le défaut de soins..
Envoyer un merci ?Réponse de sala33622552, le 04/09/2019 à 16:51
Tout dépend du contexte, mais normalement c'est préférable et je propose aussi des entretiens au parent qui n'a pas demandé. Surtout dans les cas de séparation compliqué, et sans l'enfant . Parfois ce sont des rdv en alternance chacun accompagnant l'enfant. Cordialement. Catherine Saladin
Envoyer un merci ?Réponse de 6S8J14642655, le 04/09/2019 à 16:54
Bonjour,Je n'exerce plus mais à tout le moins il est nécessaire que l'autre parent soit informé et s'assurer qu'il l'est bien.Bonne chance
Envoyer un merci ?Réponse de MARI23134132, le 04/09/2019 à 17:13
Pas systématiquement. Mais je demande au parent present les coordonnées de l'autre pour l'informer et lui proposer un rendez-vous .
Envoyer un merci ?Réponse de VOIS44333551, le 04/09/2019 à 18:19
Bonjour,C'est une question bien complexe à laquelle nous sommes confrontés fréquemment au quotidien.Pour ma part, je ne demande pas obligatoirement l'accord de l'autre parent mais si celui-ci se manifeste pour exprimer son opposition ferme à la prise en charge psychologique, je peux accepter de l'interrompre en accord et après discussion avec l'enfant et le parent qui avait initié la démarche.
Envoyer un merci ?Réponse de MONI61215154, le 04/09/2019 à 18:22
Je crois que c est préférable pour que ce soit clair pour l enfant et ses 2 parents
Envoyer un merci ?Réponse de EZEN12664633, le 04/09/2019 à 18:52
Bonjour, il me semble que d'un point de vue juridique (à vérifier) l'aval d'un des parents suffit. Cependant d'un point de vue symbolique, je cherche toujours à prendre contact avec le 2nd parent à un moment donné (par téléphone, mail ou en rdv). Au moins pour l'informer du suivi. Après, libre à lui de prendre part à la dynamique thérapeutique.il m'est arrivé de le faire "sur le tard" car il fallait travailler l'aval de l'enfant. Après tout dépend de l'histoire familiale et des symptômes qui amènent l'enfant à la consultation. Il me semble que l'espace thérapeutique se doit de réunir le couple parental (physiquement ou au moins symboliquement). Très souvent, c'est même l'attente de l'enfant dans l'expression de son symptôme.
Envoyer un merci ?Réponse de MG.B54653261, le 04/09/2019 à 19:15
bonjour, en principe il vaut mieux pour l'enfant que ses parents soient d'accord entre eux sur quelques points le concernant, comme sa scolarité, sa santé et les soins qui lui sont donnés.Si le dialogue est impossible entre les parents, on peut proposer de les recevoir séparément.Si la séparation ea été officialisée, il est possible de suivre la seule demande du parent qui a la garde de l'enfant.Dans tous les cas ces situations sont difficiles à vivre pour tous les protagonistes y compris le psychologue.Bon courage.
Envoyer un merci ?Réponse de MP.P56546265, le 04/09/2019 à 21:06
Bonsoir,meme séparés ls parents restent les parents et si vous n'avez pas l'accord des deux parents, l'enfant risque de se trouver pris dans un conflit de loyauté entre ses parents et la prise en charge en fera les frais. On peut de demander pourquoi si un parent trouve que son enfant ne va pas bien, il n'en parle pas à son ex conjoint...
Envoyer un merci ?Réponse de ANNE45326223, le 05/09/2019 à 00:21
BonjourIl est important pour le travail qui va être mené avec l'enfant que "l'autre" parent donne son accord au travail qui va être engagé. Cela peut être par une rencontre mais aussi par un échange téléphonique ou par un courrier. S'il n'y a pas de réponse du parent cela va pouvoir être travaillé avec l'enfant
Envoyer un merci ?Réponse de dfbe34454553, le 05/09/2019 à 08:57
Je vous réponds en tant que psychothérapeute d'enfants ayant exercé 40 ans en CMPP.. quand cela est possible (si on a l'adresse ou si le parent présent ne fait pas barrage ) on envoie toujours un courrier très neutre pour informer l'autre parent et l'inviter à prendre contact ou à nous rencontrer s'il le désire...peu de parents répondent et dans ce cas là prise en charge est effectuée...le seul frein est le refus catégorique, ce qui est rarissime.
Envoyer un merci ?Réponse de MOSS44521322, le 05/09/2019 à 10:48
Au cours de ma longue pratique professionnelle j'ai,en effet ,toujours demandé si l'autre parent était informé de la démarche et ce qu'il en pensait,soulignant la nécéssité dans laquelle j'étais de le recevoir (ce qui n'a pas toujours pu se faire)mais l'enfant en était informé.Il ne me semble pas possible de m'être l'enfant dans un nouveau conflit de loyauté vis à vis de l'un ou l'autre de ses parents.Il faut évidemment prendre en compte tous les paramètres de la situation dont l'age,la pathologie et la souffrance qui en découle..;s'il y a refus catégorique de l'autre parent mais demande de l'enfant,la situation est différente et dans un courrier le parent opposé doit être mis au courant de la mise en place de la prise en charge.La ou le collègue concerné saura ,alors ,trouver les mots "exposant" le moins possible l'enfant et l'autre parent.
Envoyer un merci ?Réponse de fr.l34524342, le 05/09/2019 à 11:17
Question difficile. Légalement, l'accord des deux parents est nécessaire ; de plus, prendre en charge un enfant en excluant un parent pose un problème clinique, d'autant plus que souvent, cette "exclusion" fait partie du problème pour lequel l'enfant vient nous voir.Il peut être fécond de recevoir le parent demandeur avec l'enfant, en expliquant, autant à l'enfant qu'au parent, pourquoi la parole de l'autre parent est importante.
Envoyer un merci ?Réponse de MICH42135336, le 05/09/2019 à 11:25
Bonjour je suis psychologue à la retraite mais je continue à exercer en libéral à Paris dans le 18 eme et j ai exercé pendant 20 ans en CMPP. Il est en effet préférable de demander l accord du 2eme parent mais tout dépend de la situation parentale. Cela se discute avec le parent reçu et avec l enfant s il peut donner un avis personnel. Si le parent ne souhaite pas que vous demandiez l accord de son conjoint demandez lui la possibilité de l informer du suivi de l enfant. Mais sachez que dans tous les cas il faut être très prudent et s assurer que ça ne soit pas dommageable pour l enfant ou que cela n alimente pas le conflit familial. Si c'est le cas il vaut mieux s abstenir de recevoir l enfant.J espère avoir répondu à votre question.
Envoyer un merci ?Réponse de CHRI36424611, le 05/09/2019 à 17:17
légalement, quand les deux parents ont l'autorité parentales, nous sommes tenus d'informer les deux parents
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