Forum Médecins Gynéco-Obstétriciens : pratiques pro

Posez vos questions aux autres utilisateurs Médecins Gynéco-Obstétriciens : pratiques pro, il sont là pour vous aider !

Devenez membre Demandez la notice Inscription gratuiteVous recevrez une alerte email dès que la notice de votre Médecins Gynéco-Obstétriciens : pratiques pro sera disponible

Les fils de discussion sont l’endroit où partager votre expérience avec les autres membres du groupe, leur poser vos questions, et répondre aux leurs.

POSEZ VOTRE QUESTION

08/02/2019
à 11:38
Luteran et lutényl et leurs génériques: des cas de méningiome rapportés
Avatar thumb
luca75587412
2 réponses
Expertise (non renseigné) Utilisateur (non renseigné)
0

Bonjour à tous, je suis tombée sur des recommandations de l'ANSM:

*l’utilisation d’acétate de chlormadinone ou d’acétate de nomégestrol est contre-indiquée en cas d’existence ou d’antécédent de méningiome.

* si un méningiome est diagnostiqué chez une patiente traitée par de l’acétate de chlormadinone ou de l’acétate de nomégestrol, le traitement devra être arrêté immédiatement et définitivement, et la conduite à tenir devra être discutée avec un neurochirurgien.

Aussi, en cas de prescription d’acétate de chlormadinone ou d’acétate de nomégestrol, les professionnels de santé devront :

*Informer les patientes de l’existence du risque de méningiome,
(Ré)-évaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patiente, en tenant compte du risque de méningiome,
*Vérifier auprès des patientes l’absence d’antécédent de méningiome ou de méningiome en évolution connu,
*Prescrire dans le respect des indications autorisées par l’AMM,
*Prescrire aux doses les plus faibles possibles et sur une durée la plus courte possible.
Pour autant ces signalements ne permettent pas de conclure, à ce stade, que les femmes qui utilisent ces médicaments présentent un risque de méningiome plus élevé que celui observé dans la population générale. Qu'en pensez vous?

Répondre
Réponse de Avatar0CLAU24321616, le 08/02/2019 à 14:42
Expertise (non renseigné) Utilisateur (non renseigné)
0

En fait ce qui est important c'est de ne pas prescrire ces traitements à une femme porteuse d'un méningiome. Donc si ce traitement s'avère nécessaire, faire une IRM auparavant, mettre au courant la patiente des risques puis prescrire la dose la plus faible compatible avec le résultat escompté. Bien sûr rester attentif ensuite à tout signe évocateur d'un méningiome.

Envoyer un merci ?
Réponse de Avatar0anne52646152, le 09/02/2019 à 14:01
Expertise (non renseigné) Utilisateur (non renseigné)
0

BonjourPour ma part j'ai toujours respecté les recommandations actuelles et avant même les publications de ansm.Quant a informer les patientes d'un risque potentiel, c'est une utopie .Le tabac tue et tout le monde le sait , rétablissons un lien de confiance et de transparence avec la population.

Envoyer un merci ?
En cours...